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Par james morane le 26 Novembre 2020 à 18:31
Comme je le disais dans mon dernier article : « Le président doit parler mardi pour annoncer ce qu’on sait déjà. Il a pris soin de faire une interview ce week-end auprès du JDD pour annoncer ce que nous ne savons donc pas encore… LOL. Il prépare le terrain. »
Avant c’était le « fuitage » organisé par des ministres des mesures qui seraient prises, tout en gardant quelques éléments incertains jusqu’à la tenue scénarisée du « Conseil de sécurité ». Comme si les décisions n’avaient pas déjà été prises et le plan d’action déterminé. Pas étonnant qu’on ait toujours un train de retard. Je l’ai déjà dit : il faut arrêter le cinéma et être clair. La population ne demande pas de faux espoirs mais la vérité et n’a pas besoin d’être ménagée mais doit savoir où elle va…
Image par Cdd20 de Pixabay
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Par james morane le 23 Novembre 2020 à 18:21
Au fil du temps, en relisant quelques uns de mes billets, je me suis aperçu que le COVID 19 ne se contentait pas d’essayer de contaminer nos corps, il occupe trop nos esprits à tel point que je me m’aperçois que j’en oublie de penser à d’autres évènements qui se passent autour de nous dans le monde et en France.
J’ai laissé passer par exemple la détérioration des relations entre la France et la Turquie et je n’ai même pas dit un mot sur les élections présidentielles américaines , le terrorisme qui a frappé le sol français, le professeur d’histoire assassiné, la pauvreté qui monte, les tentatives menées au parlement pour saper le droit à la presse de faire son métier, les sénateurs qui « travaillent »pour faire passer l’âge de la retraite à 63 ans, la diminution des APL pour nombre d’allocataires, la fraude au chômage partiel, la candidature déclarée de Jean-Luc Mélenchon à la prochaine présidentielle… J’en oublie sans doute mais je vais régénérer ma vigilance. Pendant qu’on nous « bassine » à longueur de journée avec les chiffres, mises en scène politiciennes, problèmes et autres péripéties autour de la COVID 19, certains pendant ce temps là œuvrent aussi à d’autres choses qui nous tomberont un jour sur le « paletot » alors qu’il sera trop tard pour réagir.
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Par james morane le 20 Novembre 2020 à 17:45
Sans être devin, on sait comment fonctionne maintenant la machine communicative du gouvernement pour dire au citoyen ce qu'il sait déjà ou presque quand il n'est pas dans le brouillard des informations qui parfois se contredisent.
Essai...Image par Free-Photos de Pixabay
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Par james morane le 19 Novembre 2020 à 18:22
J'en viens donc à celles et ceux que j'appelle les inconséquents. C'est le plus grave que l’attitude des inconséquents majeurs qui se croient au dessus de tout et font n’importe quoi au non de leur « liberté ».
Comme je le disais dans un autre article: " Ce n'est pas un problème de liberté. LA LIBERTÉ N’EST PAS FAIRE CE QU’ON VEUT N’IMPORTE OU, N'IMPORTE QUAND ET N’IMPORTE COMMENT. Celle-ci s'exerce jusque la limite où cela ne nuit pas à autrui. (...). Certaines et certains ont perdu le sens de ce qu’est « la liberté » quand on vit en société. Il faut donc hélas une obligation comme le montrent les faits et les attitudes. Halte donc au relâchement et oui à un rappel à la responsabilité par une obligation et une sanction si nécessaire. C’est regrettable mais c’est, hélas la seule solution… L’appel à la responsabilité ne suffit pas pour certains. Dommage."
Image par Free-Photos de Pixabay
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Par james morane le 19 Novembre 2020 à 17:40
Mon dernier billet d’humeur date de début octobre. J’y donnais mon sentiment sur ce que j’ai nommé les querelles de chapelles sur fond de frondes de certains responsables politiques municipaux qui ne se contentaient pas de critiquer - ce qui est leur droit- les mesures sanitaires décrétées par le gouvernement mais qui par leur attitude d’appel à la désobéissance – ce qui n’est pas leur devoir- semaient le trouble dans l’esprit de leur concitoyens. J’exprimais mon désaccord : « Cette situation est inadmissible et ne devrait pas être dans une période où justement il faut de la cohérence et de la solidarité ».
Les demandes d’exceptions à la règle pleuvent à tel point que, si elles étaient acceptées, de confinement « LIGHT » on passerait à plus aucun confinement alors que la situation est grave sur le plan sanitaire.
Un point est donc à faire entre les exceptions demandées qui peuvent se comprendre et celles que s’attribuent certains mettant en danger les autres, la durée du confinement et la possibilité pour tous d’être soignés que ce soit du fait du virus ou d’une autre maladie.
image Toto573 - Own work, CC BY-SA 3
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