• Nous serons bientôt dans la même situation qu'en Italie.

    En janvier et février 2021, le président de la République et son gouvernement ont fait le "pari" de gagner du temps pour ne pas prendre de mesures fortes  afin de ne pas  gêner la population et toucher à l’économie face à une propagation du virus  inéluctable et d’autant plus importante qu’elle s’accélère avec le variant anglais qui prend toute sa place comme d’ailleurs on pouvait le prévoir avec ce qui s’est passé au Royaume Uni.

    Face au remplissage des lits d’hôpitaux en Ile de France  ou dans les Hauts de  France  une stratégie à court terme d'envoi des patients dans les autres régions se met en place toujours pour gagner du temps … ce  qui ne prévoit pas le développement de la contamination future qui commence d’ailleurs et donc l'afflux des hospitalisations dans ces hôpitaux des zones à moindre incidence.

    SITUATION DE CONTAMINATION COVID : LES CONSEQUENCES  D’UN PARI ?

    image geralt, ixabay

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  • Je ne reviens pas sur le fait que les doses de vaccins ne sont pas au rendez-vous. La faute à l’Europe dont la France  qui a négocié trop tardivement et aux laboratoires qui ont fait des promesses qu'ils ne peuvent pas tenir. On s’en aperçoit tous les jours avec les retards de livraison.

    En France, après moult hésitations, se sont déployés, enfin,  des centres de vaccination puis des possibilités de se faire vacciner chez le médecin généraliste et bientôt chez les pharmaciens. Et il sera possible d’amplifier le réseau avec les médecins spécialistes, les vétérinaires et les infirmiers. On a même vu, ce matin, à Paris, dans le cadre d’une grande démonstration médiatique  l’initiation à la vaccination des pompiers dans un vaccinodrome…

    On ne peut donc dire qu’on a des problèmes  sur le terrain pour que les injections puissent se faire.

    Les problèmes sont ailleurs dans l'incohérence des décisions prises pour faire fonctionner ces réseaux logistiques … dans le cadre de la pénurie de vaccins.

    Je ne peux le passer sous silence après toutes les erreurs qu'on ne devraient plus faire.

    VACCINATION COVID: LES INCOHÉRENCES DE LA DIRECTION GÉNÉRALE DE LA SANTÉ

    Image par DoroT Schenk de Pixabay

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  • Deux situations différentes qui interpellent pour nombre de raisons :

    En MOSELLE : Trois cents cas de contamination aux variants apparus en Afrique du Sud et au Brésil ont été recensés en quatre jours dans le département et  35% des personnes ont été testées positives.

    Dans le DUNKERQUOIS : "...les taux d'incidence sur la communauté urbaine de Dunkerque et la communauté de communes des Hauts-de-Flandre (…) atteignent respectivement 485 et 424 cas pour 100 000 habitants (contre 208 au niveau national)", indiquait mercredi soir l'Agence régionale de santé (ARS) dans un communiqué.    "le taux de pénétration des variants anglais est trois fois supérieur à la moyenne régionale et six fois supérieur à la moyenne nationale, avec un niveau de 485 contre 208 dans le Nord  (…)   Le variant anglais pourrait avoir une contagiosité 50% à 70% plus élevée que celle de la souche originelle, selon les évaluations de plusieurs études scientifiques. D'après le centre hospitalier de Dunkerque, au cours de la semaine du 1er au 7 février, 33% des prélèvements pour le Covid-19 ont été détectés positifs au variant B.1.1.7(dit variant anglais), "soit une augmentation de 10% par rapport à la semaine du 25 au 31 janvier » (source  La Voix du Nord).

    A Dunkerque quand les masques n'étaient pas chirurgicaux...

    ALERTE EN MOSELLE ET DANS LE DUNKERQUOIS : LE PARI DE L'IMMOBILISME

    image 2013 - de Marie-Lan Nguyen / Wikimedia Commons  CC BY 2.5

     

     

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  • NON ESSENTIEL tout le » cinéma » de la quinzaine, bien relayé par les médias pour augmenter l’ambiance anxiogène,  pour préparer les annonces de fin de semaine quant aux mesures gouvernementales pour nous protéger de l’augmentation de la contagion par le CORONAVIRUS.

    NON ESSENTIELLE, l’allocution, du Premier ministre  Jean CASTEX, ce vendredi soir après un « conseil de défense » avancé… car en définitive elle ne nous annonce presque rien.

    NON ESSENTIEL…

    image modifiée OpenClipart-Vectors de Pixabay

     

     

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  • La précision étant faite quant au terme de procureur que je ne suis pas, je me permets donc de continuer avec le droit à l'erreur dont parle Emmanuel Macron dans son intervention du jeudi de la semaine dernière.
    Des erreurs, il en a faites et tout comme chacun il a le droit à l'erreur. Néanmoins, il est président de la République et quand il fait une erreur, celle-ci peut se répercuter sur la vie quotidienne des français.

    LE « PROCUREUR » S’ADRESSE AU PROCUREUR EN CHEF - 2 sur 2

    Image par saulhm de Pixabay

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