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Des circonstances personnelles ne m’ont pas permis de m’exprimer depuis quelques semaines sur le sujet des présidentielles, du COVID mais aussi tout récemment de la guerre en UKRAINE ou d’autres. C’est la vie et ses aléas, ses étapes, ses pages qui se tournent...y compris douloureuses. C'est donc un retour...
Ce n’est pas catastrophique notamment pour les présidentielles. Cela permet d’observer les candidats éventuels leurs actions pour faire connaître leur programme... quand ils en ont un ce qui n’est pas le cas de tous.
Pour le COVID, élections obligent, on fait comme si cela se "tassait": on peut enlever le masque mais les "fragiles" faites attention... même si le virus est plus contagieux et que le taux d'incidence remonte. La liberté est retrouvée!!! Illusoire. Pas sérieuxPour ma part, ma préoccupation essentielle est celle de la GUERRE en EUROPE subie par les habitants de l’UKRAINE que le président de Russie, Vladimir POUTINE, fait tuer sans vergogne.
Combien d’enfants, de femmes et d’hommes sont et seront tués pour la vaine gloire d'un individu méprisable soutenu par la cour de lâches qui l'entourent?Rien ne justifie ce que je qualifie de meurtres infâmes... Mais les mots ne sont pas assez forts.
Domaine public
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Je ne reviens pas sur le cirque électoral dont j’ai parlé lors de mon dernier écrit. Ça continue bien sûr de plus belle. J’ai laissé passer la frénésie des déclarations électoralistes et de sondages ou des commentaires divers et variés de nos chroniqueurs nationaux qui s’attachent ( pas tous heureusement ) aux petites phrases ou aux petits évènements pour en faire le buzz du jour voire de la semaine.
Je me contenterai de commenter pour ma part les dernières décisions gouvernementales pour faire face à la montée des prix de l’énergie et la baisse du pouvoir d’achat. Comme je le disais dans mon dernier mot d’humeur quant à la préoccupation essentielle des français : « ...l’hiver arrivant avec son lot de problèmes pour beaucoup comme de savoir comment payer les factures de chauffage, d’électricité ou de carburant pour aller notamment travailler et percevoir un salaire qui lui n’augmente pas… quand on est pas au chômage. »
Il semble qu’Emmanuel Macron et le gouvernement l’aient compris ce qui ne veut pas dire qu’ils prennent toutes les bonnes mesures pour y faire face.
Image par Jiří Fröhlich de Pixabay
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Cela fait presqu’un mois que je n’ai rien écrit sur ce blog. Ce n’est pas volontaire car j’écris quand j’en ai envie et je remercie celles et ceux qui consentent à lire ma prose que je libère avant tout pour réfléchir au présent ou à l’avenir.
Manque d’envie donc mais sans doute parce que pas de sujets qui me motivent sur lesquels s’arrêter. Pour l’instant j’observe, écoute, regarde… Mais comme je suis de mauvaise humeur, je vais donc écrire.
Image par Wilson Joseph de Pixabay
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Au bal des prétendants, la valse des sondages est la danse à la mode.
On interroge des panels d’électeurs dits représentatifs qui veulent bien donner leur « intention » de vote pour le premier tour, voire le deuxième avec des variations de « cas de figure »…
Si on m’interrogeait j'avoue je serais bien en peine de donner mon intention de voter pour l’une, l’un ou l’autre des candidats ou éventuels candidats dans la mesure où les programmes ne sont, pour beaucoup, que squelettiques voire absents.
Et on va même subodorer qu’un tel ou un tel serait candidat.
Faut bien alimenter les colonnes des médias ou les réflexions des chroniqueurs politiques télévisuels.
La Walse [sic], caricature de 1801. D'après Carle Vernet — Cette image provient de la Bibliothèque en ligne Gallica sous l'identifiant ARK btv1b7200270q/f45. Gravure coloriée à la main de la série Le Bon Genre publiée par Pierre de la Mésangère. - Domaine public
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Il a commencé depuis plusieurs semaines.
Chacune ou chacun s’invite et utilise l’un ou l’autre évènement pour se construire ou consolider une « notoriété » qu’il n’a pas pas ou croit avoir. C’est selon.
Ils sont une trentaine environ. Le slow langoureux qui rapproche ne sera pas la danse qui pourra marquer le bal à entendre ceux qui sont prêts à nous abreuver du slogan « Je suis le.la meilleur.e. » (écriture inclusive malaisée et peu lisible.Je préfère « je suis la meilleure ou je suis le meilleur » qui respecte la parité et me semble plus lisible que la bobo inclusion. Mais ce n’est pas sujet et ça n’engage que moi.)
Le bal paré; Ausschnitt aus Stich von Antoine Jean Duclos, 1774, domaine public