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Partout on constate quelques agitations de partis politiques et de présidents de régions pour les élections régionales. Des bus sillonnent même pour certains candidats les villes et les campagnes comme si leur pollution visuelle allait inciter des électeurs à se précipiter vers les urnes.
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Un variant fait des ravages au Brésil et environ entre 350 et 1000 personnes (selon les sources ) venant de ce pays arrivent chaque jour dans les aéroports. Je ne compte pas ceux qui passent librement les frontières françaises sans contrôle et qui circulent par les pays de l’Union européenne.
Il y aurait des précautions prises dans les aéroports français.Cela est-il suffisant pour éviter que ce variant fasse comme celui qui s’est installé et présent à plus de 80% en France, le variant dit Britannique ou Anglais deux fois plus contaminant et létal que le variant d’origine ?
Le variant brésilien représente certes moins de 1% des cas en France selon les derniers chiffres de Santé publique France du 8 avril dernier.
Il est jugé préoccupant par les autorités sanitaires.Mais que prend- on véritablement comme mesures pour qu’il ne fasse pas comme le variant britannique ? On ne peut se limiter à fermer les aéroports ou contrôler strictement.
Quelles stratégies déployons nous pour anticiper une éventuelle progression de la contamination par ces variants?Image par Alexandra_Koch de Pixabay
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A l’heure où la "publicité" gouvernementale sévit pour faire croire que l’on vaccine massivement- tout au moins le week-end - en installant des « vaccinodromes » que le pouvoir a longtemps boudés parce qu’il ne pouvait compter sur suffisamment de doses de vaccins, l’absurde se met de la partie dans cette "course contre la montre" , dixit le ministre de la santé, pour vaincre le virus…avant qu’il ne nous déborde ce qui est sur le chemin de se produire et qu'on veut bien sûr éviter...mais le pourra-ton?
Pour ce faire, il faut mettre en œuvre non seulement des mesures fortes, accélérer la vaccination mais aussi utiliser tous les moyens que nous avons à disposition comme par exemples les tests salivaires et les autotests qu'on attend toujours et qui devraient être à disposition en nombre. Il sont annoncés pour le 12 avril. espérons qu'ils seront disponibles par dizaines de millions pour que ce soit efficace et que ce ne soit pas un simple effet d'annonce... On ne peut se reposer sur le seul espoir de la vaccination pour voir le bout du tunnel. Ce serait une erreur que de le croire.
Image par torstensimon de Pixabay
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Ce mercredi, le président de la République s’est adressé à la nation, après l’agaçant rituel de l’attente d’un conseil de défense, pour annoncer quelques mesures qu’il ne peut faire autrement que de prendre et destinées , selon lui, à nous permettre de maîtriser et atteindre les objectifs qu’il s’est fixés de sortir de la crise qu’il a lui-même contribué à augmenter par son manque d’anticipation. C'est en tout cas mon avis.
C’est donc un échec de la gestion de l’épidémie... à force d'attendre pour soi-disant gagner du temps...
image geralt, ixaba
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La situation de la contamination à l’école ne cesse d’empirer. C’est un constat.
Devant la réaction des enseignants mais aussi de parents qui, dans nombre d’écoles ne savent plus trop bien si leurs enfants sont ou non en sécurité, la seule réponse du gouvernement par la voix de son ministre de la santé, fut ce jeudi 25 mars, lors d’une conférence de presse :
"La fermeture des écoles est une décision de dernier recours" "Nous savons qu'elle a des conséquences sur la santé des enfants et le quotidien des parents. Nous ne nions pas que le virus peut se transmettre à l'école, puis de l'école vers les familles (...) Toute la communauté éducative veille à ce que la vie dans les écoles, les collèges et les lycées puissent continuer en limitant au maximum les risques de transmission ". « L'éducation est l'arme la plus puissante pour changer le monde », a-t-il déclaré, en citant Nelson Mandela.
Il annonce des protocoles « renforcés » pour faire maximum pour que les écoles ne ferment pas.
Le ministre a également rappelé que des campagnes de dépistage se déroulent dans les écoles.
« Fermer une école relève avant tout d’une décision locale, et non d’une décision directe de l’Etat. Lorsqu’un département inquiète particulièrement les autorités sanitaires, une consultation avec les élus est de rigueur »
Le ministre la Santé justifie le fait que les écoles restent ouvertes parce que « le virus ne circule pas partout de la même manière. « En témoignent les départements de la Nièvre, du Rhône et de l’Aube placés pour quatre semaine en confinement, ou encore les 29 départements dont la situation sanitaire est jugée particulièrement inquiétante. »
Et puis ce vendredi, c’est au tour du ministre de l’éducation nationale, Jean-Michel Blanquer d’annoncer des mesures et protocoles dits renforcées.
Quand j’en prends connaissance, c’est là que je pense que c’est une blague…