• 2014...ET SI......on arrêtait les « buzz » débiles qui polluent la vraie info

    ...le gouvernement se lançait vraiment à l’assaut des véritables grands fraudeurs du fisc plutôt que de demander les efforts à ceux qui ne fraudent pas

    ...le ministre de l’éducation nationale remettait à plat son organigramme pour bâtir une vraie refondation de l’Ecole

    ...certains français s’investissaient un peu plus syndicalement  et politiquement pour défendre ensemble de manière cohérente leurs conditions de travail, leurs retraites au lieu de faire du chacun pour soi opportuniste, égoïste et égocentrique

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  • Pour faire suite à mon article précédent à propos des agitations qui secouent actuellement les professeurs des classes préparatoires, un certain nombre de questions sont à mettre à l'ordre du jour.  Ces classes sont -elles nécessaires ? C’est une première question que l’on peut légitimement se poser quand on voit ce qu’elles coûtent, les enchevêtrements de réseaux parallèles de préparation, les conflits entre les grandes écoles et les universités... j’en passe. La complexité de la situation montre bien que notre système éducatif est constitué de couches qu’on a superposées au gré des décennies sans réelle réflexion d’ensemble y compris économique.

    LES CLASSES PREPARATOIRES SONT-ELLES NECESSAIRES ?

    (Schéma synthétisant les différentes filières offertes en classes préparatoires scientifiques et les liens entre elles. auteur Valentin Lorentz, 28 mars 2013, licence Creative Commons CC0 don universel au domaine public.)

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  • Les professeurs des classes préparatoires se lancent dans une action pour la conservation de leurs horaires, statut, émoluments... suite à l’annonce du ministre de l’éducation nationale de remettre en cause le nombre d’heures de cours de ces personnels.

    Je ne me prononcerai pas sur le bien fondé ou non des raisons qui font « bouger »  ces personnels  et amènent à ce nouveau conflit qui commence car cela demande une étude sereine et approfondie du sujet et pour cause...

    On a affaire là à un phénomène de défense catégorielle comme on en a toujours connu.

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  • Vincent PEILLON: deux annonces fondamentalesLe ministre de l’éducation nationale a fait nombre d’annonces  ces derniers jours. Je ne reviendrai pas sur ses déclarations concernant l’enquête PISA qui, selon lui, doit renforcer la mobilisation pour la refondation de l’école. C’est une évidence qu’il faut d'urgence travailler à trouver les moyens d’améliorer les résultats de nos élèves notamment ceux qui ont des difficultés. Ce n'est pas nouveau. Mais une mobilisation ne se décrète pas.  Elle se met en place à partir de la confiance, d’actes motivants ce que pour le moment monsieur Peillon, ministre n’a pas généré dans les faits.  Dommage! J’ai dit dans mon précédent article ce que j’en pensais et quelle direction il fallait, selon moi, prendre.

    Quant aux ex-ministres de l’éducation nationale des gouvernements précédents, il serait bon qu’ils se fassent très humbles dans leurs déclarations car l’état actuel de notre système éducatif est le résultat de leurs politiques obsolètes au rabais ou complètement inadaptés.  Je n’y reviens pas, m’étant déjà exprimé et avoir argumenté sur le sujet. Un peu de discrétion de leur part serait la bienvenue.

    J'ai examiné, aujourd’hui, deux annonces de Vincent PEILLON qui me semblent dignes d’intérêt et qui, si elles sont suivies d’une bonne prise en charge, devraient faire avancer  la refondation de l’Ecole: la réforme du statut des enseignants, le harcèlement à l'école.

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  • Vincent Peillon, Ministre du périscolaire communal?La réforme des rythmes dits « scolaires » enclenchée par le gouvernement a été mal pensée et a été déviée dans ses fondements principaux par une faiblesse de décisions laissant ceux concernés en premier chef - les élèves, les parents et les enseignants- sur le côté. Volontairement ou non,  le ministre a laissé mener un aménagement du temps par les seules collectivités locales à qui il a été délégué le pouvoir de décision sans aucun contrôle véritable. On peut parler d’un échec de cette réforme dans la mesure où rien ne changera dans les classes au niveau des pratiques, au niveau de la prise en charge des enfants et notamment ceux en difficulté. Les réductions horaires journalières ont souvent fait place à des aberrations dont celle du samedi non travaillé. 

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