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La période des fêtes est toujours propice à se projeter vers l’avenir proche : le prochain réveillon pour les gourmands, les cadeaux au pied du sapin pour les enfants et …les grands enfants.
Les plus petits attendent avec impatience l’arrivée du père Noël qu’ils ne voient jamais vraiment mais qui va leur apporter des moments de mystère et de joie.
OK, d’accord, rien de très religieux dans tout cela mais, après tout, chacun croit en ce qu’il veut croire et la place est à la tolérance qui manque beaucoup en ce monde de brutes.Athée et laïque je suis, laïque et athée je reste.
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On se demande pourquoi, au XXI ème siècle, il y a encore des gens qui peuvent croire à des inepties comme celle de la fin du monde soi-disant annoncée par le calendrier des MAYAS. Cette ancienne civilisation mérite d'être plutôt connue pour ses avancées dans les domaines de l'écriture, de l'architecture, de l'agriculture, des mathématiques et de l'astronomie. Le reste n'est que bêtises inventées par on ne sait quelle rumeur bétifiante.
Le fameux calendrier, s’il annonce la fin d’un cycle, n’annonce en rien la fin du monde. Il suffit de se renseigner. Il y a même des parents qui traumatisent leurs enfants avec ces bêtises. C’est l’occasion pour des arnaqueurs de tout poil de faire de juteux bénéfices par exemple sur la vente de cailloux du Pic de Bugarach, dans l’Aude, haut lieu où l’on serait en sécurité pendant que régnerait sur la terre l’apocalypse. La montagne a même été interdite d'accès le 21 décembre 2012 et nombre de forces de sécurité seront mobilisées pour empêcher l’accès au pic et au village qui connait un succès planétaire grâce aux rumeurs du net. Merci les zozos! (Photographie prise au Museum d'Atthropologie et d'histoire de Mexico, 2006-09-24, auteur Renehauronn domaine public)
Il faut dire que c’est là que se trouverait un garage à OVNI de nos chers extra-terrestres. Si, si… regardez bien...
(Bugarach vue générale, auteur ArnoLagrange, 2à janvier 2008, Permission GFDL CC-BY-SA-3.0)
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Le combat des travailleurs de Florange occupe les ondes, les colonnes et les écrans de nos médias chaque jour. Il n’est pas une journée où l’on n’apprend pas un rebondissement. Les médias suivent à la minute près ce symbole du combat de travailleurs contre la poursuite de la destruction de notre tissu industriel.
C’est très bien.Il faut néanmoins mettre un bémol dans l’équilibre de l’information qui une fois de plus privilégie une situation dont le gouvernement essaie de s’occuper, qui fait du bruit de par les actions des travailleurs sur le terrain, de par les déclarations du patron de Mittal.
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C’est l’annonce que vient de faire Vincent PEILLON dans le cadre de la refondation de l’école.
On ne peut être que d’accord sur cet objectif d’autant que l’on sait que le redoublement n’améliore pas, dans la grande majorité des cas, le niveau des élèves.
Le problème est donc bien de quelle manière sont pris en charge les élèves à l’école pour qu’ils puissent avancer et apprendre. Il faut que l’on considère chaque élève selon ses difficultés dues à son milieu socio culturel, ses rythmes …
Le redoublement est hélas considéré en France comme le moyen le plus apte à remédier aux problèmes scolaires ce qui est une erreur. Sans doute est-ce plus facile que de mettre les véritables moyens pour changer l’Ecole.
Le débat du pour ou contre le redoublement est donc un faux débat.
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J’entends par "énergie" celle que nous consommons chaque jour à la maison.
On apprend aujourd’hui que le réacteur nucléaire EPR* nouvelle génération de Flamanville va coûter plus de 8,5 milliards d’euros. ’EDF doit aussi , parait-il, rembourser des milliards d'euros aux consommateurs. Dans le même temps, il est question que suite aux décisions du conseil d’état, nous allons devoir payer un rattrapage de notre facture de gaz. Ce même gaz va augmenter de 1 à 3% en janvier mais cette augmentation est déjà contestée par les fournisseurs…Pour nous citoyens, tout parait opaque, tout est subtilement compliqué...comment s'y retrouver dans la jungle des informations contradictoires. Seule certitude: les factures augmentent.
Oui, il y a de quoi se préoccuper du "grand foutoir" de la maîtrise de l’énergie en France.
(image auteur C. Clark, domaine public)
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